« Chérie ! Je vois le monde entier dans tes yeux ! » « Dis-moi, jeune homme, n’y vois-tu pas notre commission d’inspection ? Je me demande juste ce qu’elle fait ! »
« Camarades ! Il est 4h du matin ! Pourriez-vous être plus silencieux ? Les autres personnes dans l’immeuble ne peuvent pas dormir ! » « Ils ne peuvent pas ? Les pauvres. Nous devons les aider ! Les gars, chantons une berceuse ! »
« Du coup Andreï Petrovitch nous blâmera encore pour notre faible avancée. Mais il en est le seul coupable. Qui lui a dit de prendre cette rue alors que nous pavions celle-ci spécialement pour lui ? »
« Pourquoi êtes-vous si grossière avec les clients ? Vous devez être polie au travail ». « Je suis en pause déjeuner là ! »
« Il ne peut même pas faire un pas sans moi ! »
« Dites-moi s’il-vous-plait, comment se rendre à l’hôpital ? » « Descendez cette rue et vous y serez ».
« Un excellent moyen de mesurer un angle »
« Je ne comprends vraiment pas, Polony, pourquoi les spectateurs agissent aussi bizarrement ». « Que pouvons-nous faire ? Ils ont pris l’habitude de regarder des spectacles à la télé… »
« Vous êtes de véritables amis ; vous pourriez faire lever n’importe quel malade de son lit ».
« Mais attends, petit chaperon rouge ! Oh ! Mais où est donc le petit chaperon rouge ? »
« Elle s’est cassée ?! » « Dieu merci, elle est en un seul morceau ».
« Promets-moi, chéri, que tu me porteras dans tes bras même après l’aménagement du district ».
« Un adieu aux armes »
« Mercure est le dieu du commerce » « Quel dieu est-il s’il ne peut pas s’acheter de jean ?! »
En URSS les jeans et beaucoup d’autres objets subissaient des pénuries.
« Ça sent le saucisson ! » « C’est le train de Moscou ! »
Durant l’époque soviétique, les habitants des campagnes se rendaient dans les grandes villes pour faire leurs courses, puisque les centres urbains étaient mieux approvisionnés. Ils pouvaient ainsi y trouver de nombreux produits inaccessibles autrement, dont le saucisson, d’où ce surnom populaire donné aux trains les transportant, qui avaient souvent une odeur de saucisson.
« Vous pouvez rugir ou non, mais tant que vous ne fournissez pas le document prouvant que vous êtes un lion, je ne vous croirai pas »
À propos d’illustrations, connaissez-vous Ivan Bilibine, l’un des plus grands maîtres russes en la matière. Faites sa connaissance ici !
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